Conseils pour devenir juriste en droit immobilier ?

Le juriste en droit immobilier a pour mission d’appliquer le droit immobilier et de conseiller les particuliers comme les professionnels. Mais comment en devenir un ? Réponses dans ce qui suit, à travers les formations à suivre ainsi que les qualités et compétences requises. Mise au point.

Les formations à suivre pour devenir juriste en droit immobilier

Le juriste en droit immobilier est un professionnel de droit public, privé ou social. Son cœur de métier est le droit de la construction, le droit de l’urbanisme, le droit de la fiscalité immobilière ainsi que le droit des contrats immobiliers. Pour devenir juriste immobilier, il faut justifier d’un diplôme de bac + 4 ou de bac +5 en Droit. Après quoi, les étudiants sont libres de se spécialiser dans la filière Droit immobilier de leurs choix. Les bacheliers désireux d’embrasser la carrière de juriste immobilier peuvent également opter pour une licence professionnelle en Droit, avec une spécialisation en droit immobilier. Pour information, ce spécialiste peut exercer auprès d’une agence en tant que salarié ou bien se mettre à son compte en ouvrant son propre cabinet. Quant aux rémunérations, les débutants perçoivent environ 2300 euros bruts par mois, contre 5000 euros après des années d’expérience.

Quelles sont les qualités requises pour devenir juriste en droit immobilier ?

Il ne suffit pas d’avoir un diplôme et une spécialisation en droit immobilier pour mener à bien les missions d’un juriste en droit immobilier. En effet, ce dernier doit avoir un certain nombre de qualités. Premièrement, il faut faire preuve d’esprit d’analyse et de synthèse, pour pouvoir vulgariser les procédures, les termes juridiques et les informations essentielles de l’affaire auprès du client. Il faut également avoir un bon relationnel, car le juriste immobilier est amené à collaborer avec plusieurs individus. Une bonne capacité rédactionnelle est aussi requise, car il se verra confier la rédaction des contrats et d’autres documents juridiques. Autre aptitude demandée : savoir négocier pour être efficace lors de la gestion d’un litige, ou pour résoudre les différends. Enfin, et non des moindres, la maîtrise de plusieurs langues étrangères est un atout considérable dans le métier, et permet au juriste d’étendre ses champs d’action.

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